Nous félicitons vivement notre collègue Bernard Vincent, membre de l’École des hautes études hispaniques et ibériques (EHEHI) entre 1968 et 1970, ancien secrétaire général de la Casa de Velázquez, directeur d’études à l’EHESS et ancien directeur du CRH pour le titre de Docteur Honoris Causa qui vient de lui être décerné par l’Université Complutense de Madrid.

Jean-Paul Zúñiga

Habilitation à diriger des recherches soutenue le 14 mars à l’université de Toulouse. Garant : Michel Bertrand (Université de Toulouse Jean Jaurès). Le jury est composé de Richard Drayton (King’s College de Londres), Pierre Ragon (Université Paris 10-Nanterre), Annick Lemperière (Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne), Oscar Mazin (Colegio de Mexico), Bernard Vincent (EHESS)

 Konstantinos Gkotsinas

Thèse dirigée sous la direction de Georges B. Dertilis, soutenue le 20 mars, devant un jury composé de Efi Avdela (Université de Crète), Dominique Kalifa (Université Paris I), Marie-Ellisabeth Mitsou (EHESS), Xavier Paulès (EHESS), Emmanuelle Retaillaud-Bajac (Université de Tours), Myriam Tsikounas (Université de Tours), Jean-Jacques Yvorel (Ecole nationale de protection judiciaire de la jeunesse)

Mention Très honorable avec félicitations du jury

2, 6, 13, 14 avril – Conférences – EHESS, Paris

Zoltán Biedermann, chercheur invité à l’EHESS par Catarina Madeira-Santos (IMAF) et Natalia Muchnik (CRH-GEI), enseigne à l’University College London. Ses recherches, croisant diplomatie,  littérature, cartographie et politique de l’espace, portent sur les empires portugais et néerlandais en Asie, en particulier dans l’océan indien occidental et au Sri Lanka.

20, 27, 31 mars et 3 avril – Conférences – EHESS, Paris

Kenta Ohji, professeur invité par Antoine Lili et Silvia Sebastiani (GEHM), enseigne l’histoire et la littérature française à l’Université de Kyoto. Spécialiste des Lumières, il a consacré sa thèse et de nombreux articles à l’Histoire philosophique des deux Indes, de Raynal et Diderot et s’est intéressé à Diderot, Necker et Rousseau. Il explore également des aspects plus récents de l’histoire intellectuelle française, en particulier l’oeuvre d’Althusser.

Aurélien Gros

Thèse dirigée par François Hartog, soutenue le 7 mars, devant un jury composé de Vincent Azoulay (Université Paris-Est-Marne-la-Vallée), Ricardo Di Donato (Université de Pise) et Jacques Revel (EHESS)

Mention très honorable avec félicitations du jury à l’unanimité

31 mars – Journée d’études – EHESS, Paris

Sept historiens, sociologues, philosophes et politologues français procéderont à un examen critique du Max Weber Handbuch et engageront un débat avec les responsables éditoriaux de cette somme publiée en 2014. Au centre des discussions : d’abord la marque imposée par Weber sur la conceptualisation dans les sciences sociales, ensuite le problème des approches strictement disciplinaires d’une œuvre par nature interdisciplinaire, enfin le réexamen des grandes problématiques wébériennes à la lumière de l’évolution des sciences sociales depuis la mort de Weber en 1920.

François Hartog

Dans ce nouveau volume, François Hartog nous propose de « partir pour la Grèce » avec lui. La Grèce ? Non pas le pays lui-même, mais tout ce qu’il a apporté à la culture européenne, en une multitude d’héritages successifs, depuis Rome jusqu’au pop art, en passant par le Moyen Âge, l’époque moderne et la Révolution française. « Voyages rapides, partiels, rédigés à différents moments », les articles rassemblés ici ont en commun d’étudier l’émergence et les transformations de ce repère majeur de la pensée occidentale qu’on appelle donc la Grèce.

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3 avril – Atelier – EHESS, Paris

Cet atelier, proposé par quatre historiens de la vie affective, Damien Boquet, Piroska Nagy, Quentin Deluermoz, Hervé Mazurel, se propose de prendre au sérieux par l’actualité de l’histoire affective en France et à l’étranger. il s’agira de réfléchir ensemble sur l’identité du champ historiographie de l’histoire de la vie affective, à partir de la comparaison des signifiés de « l’histoire des émotions » et de « l’histoire des sensibilités ». Les participants, travaillant sur des périodes diverses, se soumettront au cours de la table ronde à un ensemble de questions prédéfinies, concernant leur généalogie intellectuelle respective, la définition du champ, ses grands enjeux actuels, ainsi que les présupposés épistémologiques et les pratiques méthodologiques de chacun.