Archives de catégorie : Juillet 2018

Arrivées

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Le CRH accueille deux nouveaux gestionnaires au sein du pôle secrétariation-gestion-communication, en remplacement de Danielle Lecrasmeur et de Stéphanie Guéret :
Sembala Kanté a pris ses fonctions le 15 avril et Fatima Azaghar-Sayad a pris ses fonctions le 1er juillet.
Nous leur souhaitons la bienvenue.

Tegucigalpa, laboratoire urbain des modernités au Honduras, XIXe et XXe siècles

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Norma Daniela Navarrete Calix

Thèse dirigée par Alain Musset, soutenue le 2  juillet 2018, devant un jury composé d’Ana Maria Alvarez Rojas (Universidad Catolica Silva Henriquez,Chili), Claudia Damasceno (EHESS), Laurent Faret (Université Paris 7 Paris Diderot) et Marie-France Prévôt Schapira (Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis).

Campagne d’une fouille programmée

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Durant l’été 2018, une campagne de fouille programmée sera réalisée à Châteauroux sur un terrain abritant des sépultures qui restent énigmatiques. Les plus récentes remonteraient à la fin de la période médiévale mais les origines ne sont pas connues. De la même façon, le statut de l’espace funéraire et la population à laquelle il se rapporte demeure incertains (cimetière d’une communauté particulière ?). L’objectif de la fouille est de mieux appréhender la chronologie, l’organisation, les modes d’inhumation et le type de population inhumée en ce lieu.
La fouille, dirigée par Philippe Blanchard (doctorant au CRH), est soutenue financièrement par un partenariat entre la DRAC Centre-Val de Loire, l’Inrap, le CRH (EHESS), l’UMR 8529 IRHiS (Lille), l’UMR 5199 PACEA (Bordeaux), et la FSAB (Fédération des Sciences Archéologiques de Bordeaux).

Le Saint-Empire. Histoire sociale (XVIe-XVIIIe siècle)

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Falk Bretschneider et Christophe Duhamelle (dir.)

Le « Saint Empire Romain Germanique » : au siècle de Louis XIV ou à celui des Lumières, ce corps politique encore féodal, avec ses centaines de princes, comtes et villes libres, semblait condamné par l’histoire. Du moins est-ce ainsi que les historiens l’ont longtemps considéré. Depuis, ils ont changé d’avis, allant jusqu’à en faire un précurseur de l’Union européenne. Ils ont toutefois avant tout étudié ses institutions – ses tribunaux, sa Diète – distinguant soigneusement entre ce qui relevait de l’Empire, et ce qui se jouait dans les différents territoires (la Prusse, la Bavière, la Saxe etc.).
Mais l’Empire ce sont aussi des routes, du commerce, l’échange à travers les omniprésentes frontières, ce sont des carrières qui vont d’un territoire à l’autre, ou des querelles entre voisins catholiques et protestants – bref, toute une histoire sociale qui traverse les échelles et confère au Saint-Empire une spécificité vécue.
La découverte de cette histoire sociale est un champ de recherche dynamique. C’est aussi désormais un lieu de rencontre entre historiens allemands et français. Cet ouvrage réunit les jeunes chercheurs qui animent cette nouvelle façon d’écrire l’histoire du Saint-Empire, à travers un spectre thématique large, en mêlant les bilans historiographiques et les études de cas, et en s’efforçant d’intégrer l’Empire dans une réflexion comparative. Car l’histoire sociale du Saint-Empire permet de poser à nouveaux frais la question de la modernité politique et de l’État.

De la conservation en Amazonie : Norme environnementale et démocratie territoriale à l’heure du « Faire mieux avec moins ». La Guyane française et l’Etat brésilien de l’Amapa entre tensions et normalisations

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Théo Jacob

Thèse co-dirigée par Marie-Vic Ozouf-Marignier (EHESS) et Catherine Aubertin (IRD), soutenue le 28 juin, devant yun jury composé de Xavier Arnauld de Sartre, (CNRS), Marcel Bursztyn (Université fédérale de Brasilia), David Dumoulin Kervran (Université Paris 3 – Sorbonne Nouvelle), Bernard Hubert (EHESS), Gilles Kleitz (Parc amazonien de Guyane) et Florence Pinton (AgroParisTech)

Habiter en camping. Trajectoires de membres des classes populaires dans le logement non ordinaire

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Gaspard Lion

Thèse co-dirigée par Isabelle Backouche (EHESS-CRH) et Olivier Schwartz (Université Paris Descartes), soutenue le 13 juin, devant un jury composé de Jean-Yves Authier (Université Lyon 2), Muriel Darmon (CNRS) , Jean-Noël Retière (Université de Nantes) et Yasmine Siblot (Université Paris 8-Vincennes-Saint-Denis).