14 avril – Journée d’étude – EHESS, Paris

Cette séance co-organisée par le GEHM, l’Axe Genre et l’Atelier international des usages du passé, portera sur les questions que soulève, quand on est historien, l’écriture de soi et de sa famille (mémoire, sources, méthodes). Dans le cas de la recherche d’Alison Light, le récit de vie demande une étude approfondie de l’espace social dans lequel il se situe, une étude rendue difficile en terme documentaire quand on en vient à vouloir restituer l’histoire d’une famille sur plusieurs générations. Echapper à la fiction biographique est le pari de Barbara Taylor qui retrace l’histoire du dernier asile psychiatrique en Angleterre, dans lequel elle a elle-même été internée en 1988. Raconter sa psychanalyse et son histoire psychiatrique lui permet de questionner le processus de la mémoire.

7 avril – Journée d’étude – Université Paris-Diderot, Paris

Organisée par Clarisse Berthezène (CRH) et Florence Binard, cette journée souhaite offrir un regard croisé sur la construction d’une citoyenneté féminine en France et en Grande-Bretagne, ainsi que mettre en perspective critique l’idée d’un ‘backlash’ et d’un ‘woman problem’ comme grilles de lecture pour comprendre la condition sociale et politique des femmes pendant les années 1930.